ENTRETIEN (et choix) du DESSALINISATEUR - - (189,00 TTC public.)
Vous êtes un club, une association, un comité d'entreprise ? Nous pouvons organiser le stage dans vos locaux à partir de 9 personnes. Contactez nous pour un devis sur mesure. contact@escaleformationtechnique.com ou 0617685695
Votre dessalinisateur vous parait ressembler à une usine à gaz ou vous redouter de vous en équiper pour sa complexité ? Nous allons vous aider à lever vos doutes et à dompter cette machine qui est une garantie indispensable à une vraie autonomie à bord. Et qui, contrairement aux idées reçues, elle facile à faire fonctionner et à entretenir.
Un stage multimarque ou chaque skipper peut devenir entièrement calé sur la production d'eau douce à bord ! Santé !
Jour 1 – 9h00 Les principes de base de la dessalinisation. Le phénomène d’osmose inverse. Les différents niveaux de filtrations (filtre à charbon/anti chlore, Stérilisation ultraviolet, adoucisseur/ reminéralisateur) Les différents modes de montage à bord : les systèmes compacts monobloc / les systèmes éclatés. Les différents mode d’alimentation : 12/24V/220V/attelé au moteur/manuel Schéma éclaté du dessalinisateur et questions récurrentes : Dois-je monter une caisse à eau dédiée ou tout mélanger au circuit du bord ? Ou placer la filtration en aval du dessalinisateur ou en sortie de cuve ? Puis je rincer avec l’eau du ponton ? Composer moi-même mon déssalinisateur. Montage par étape en direct avec le formateur. « Un dessalinisateur, n’est ni obligatoirement gros ni complexe » Découverte des différentes marques. Points forts et points faibles en fonction des programmes et des bateaux : Sea recovery / Dessalator /Aquabase / Hydromar / Shenker / Spectra / Katadyn /Ecotec. |
|
Jour 1 – 14h0 Les différents types de pompe haute pression : A pistons / palettes / radiales / Danfoss. Les opérations de maintenance à prévoir. Ce qui peut poser des soucis en voyage. Les membranes : Entretien, stérilisation, nettoyage curatif, vieillissement. (Ne pas changer une membrane pour rien comme c’est souvent le cas) Le stérilisant. Bien doser. les dangers de l’excès Rincer avec l’eau des cuves ? les problèmes dus à la présence de chlore. Les outils de contrôle : Manomètre / débimètre / salinomètre. Nettoyer les sondes. Lire les bonnes unités de mesure. L/h / gallons / PSI /bar. Remise en route et diagnostic: Utiliser le seau et la montre pour vérifier le bon débit. Les cycles de rinçage : Automatisé ou manuel ? quelle fréquence ? L’hivernage ; timing et méthode selon constructeurs. S’approvisionner en biocide ou en glycol alimentaire. Les vrais débits en fonction de la température de l’eau Prises d’air / étanchéité de la tuyauterie L’amorçage. Présence d’une pompe de gavage auto amorçante ? Les erreurs et les mises en sécurité : manque de pression / manque de débit / salinité trop élevé. Vérification des valeurs de manomètres et débimètres.
. |
|